Oblivion
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Oblivion

Come _ Without _ Any _ Fears...

 
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 Charlie Von Steinbach

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Charlie Von Steinbach
Charlie Von Steinbach
Nombre de messages : 3
Age : 31
Date d'inscription : 25/05/2008
MessageSujet: Charlie Von Steinbach   Charlie Von Steinbach Icon_minitimeVen 30 Mai - 19:50

F I C H E
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Charlie Von Steinbach

Charlie Von Steinbach 53998-___noir___





NOM : Von Steinbach
PRÉNOM : Charline
SURNOM : Charlie
ÂGE 23 ans
DATE DE NAISSANCE : Quatorze Février Deux Mille Quatorze
STATUT : Professeur de philosophie et littérature
SEXUALITÉ : Hétéro (pour l’instant, qui sait ce que la vie nous réserve)
RACE : Phalène


TRAITS PHYSIQUES :
Puisqu'il ne faut passer outre, alors allons-y. Il est difficile de se juger autrement que mal, vous pouvez le concevoir. Je serais simple, claire. Il ne m'a pas été accordé la beauté parfaite, celle qui vous offre une poitrine proéminente ou encore des yeux si touchants que chaque personne qui oseraient y porter le regard en serait soudain tout amoindrit. Non. On peut dire que ma seule beauté est celle qui me définit. D'un aspect général, je pourrais faire peur - comme chacun s'en doute. Femme qui ne se laisse certainement pas marcher sur les pieds, avec peut être des tendances peace and love, dû à la matière douce du coton que je préfère au bon vieux jeans outre-Atlantique. Ma présence n'est pas significative d'un dégoût commun aux personnalités étranges -même si je ne me défini pas tout à fait comme cela - seul l'étonnement y règne la plupart du temps. J'ai conscience de ne pas aspirer à une sympathie profonde, désolé de vous dire que je m'en fous royalement. La vie est trop courte pour laisser les autres décider à votre place. Si mes tenus offusque par le manque de goût, si mon attitude éternellement décontracte dérange ou exaspère, et bien tant pis. Ayez en tête que vos visages dépité ne m'affecte outre mesure, quand la langue de certains courageux qui pendrait désespérément, je m'imagine bien les arracher avec les mains.

Je ne suis pas très grande. Pour vous donner une moyenne, entre un mètre cinquante-cinq et un mètre soixante. Peu impressionnante niveau carrure aussi : rien qu'un petit bout de femme comme se plaisait à dire mes anciens collègues. Mon visage m'a toujours semblé bouffi et indélicat ; peut être est ce le cas, peut être est le contraire que sais je ! Je possède une peau métissé qui - il me semble - ne compte à ce jour aucune imperfection. La seule chose qui de ma vie m'épargna fut la puberté. Le reste n'est que misère : mes cheveux sont blancs, mes lèvres presque violettes comme ceux des morts, mes yeux noirs et si profond que me regarder dans un miroir est un supplice que vous ne pouvez imaginer. Comme j'aurai aimé avoir les mèches blondes et fines de ces gamines de bonne maison, des bouclettes brunes soyeuses ou même la rousseur d'une causette. Blanc. Noir. Violet. Et en compensation, une courbe de reins accentuée et de petites épaules frêles. La seule chose remarquable doit se trouver dans mes mains. Fines et délicates, je ne puis que vanter leur beauté car elles sont ma seule beauté. Mes ongles sont loin d'être manucuré et les os parfois se font sentir sous le peu de graisse qui les recouvre - comme tout le reste de mon corps. Disons qu'elles ont le pouvoir de guérir de toutes les peines, aussi immense soit elle. Elles ont aussi celui de tuer, mais c'est encore une autre histoire.

Comme il a été dit plus haut, mes tenus vestimentaires sont rarement plaisants pour les jeunes à qui j'offre mes services. Il s'agit le plus souvent de tissu fin et léger d'Egypte ou de mon deuxième pays - l'Inde. Je n'ai pas gardé les costumes traditionnels, rassurez-vous, mais peu de gens peuvent concevoir une garde-robe aussi peu américanisé à notre époque. Je porte aussi beaucoup de bijoux, cadeau d'amis, d'amants, de mes parents ou encore de mon mari. Ce sont la plupart du temps des carrés de métaux brillants où l'on a tracé un animal étrange, ou mes initiales en lettres d'or.

PARTICULARITÉ(S) PHYSIQUE : Mes Cheveux blancs si peu facile à coiffer.

TRAITS CARACTÉRIELS :
Les Hommes sont de vrais mystère, vous ne trouvez pas ? Un jour sans colère, l’autre avec une haine si dévastatrice qu’elle vous fait oublier leur soi-disant humanité. Ils ont cette façon si soudaine de passer du sourire au rictus, de ‘s’en foutre plein la gueule’ comme diront certains. C’est dans notre nature. Qu’y pouvons nous donc ? Pas grand-chose, il est vrai. Pour ma part, il est extrêmement simple de me décrire en quelque mot, aussi cet épisode sera-t-il, je pense, le moins ouvert sur la psycho. Que dire… on me considère rarement comme quelqu’un de sympathique. Au contraire, plutôt méprisable. Non pas que me situer au-dessus des autres est un sentiment que j’aime plus que tout –quoi que – seulement, l’homme a souvent beaucoup de mal à accepter la dure vérité. Dans mon cas, il s’agirait plutôt de ma franchise, et j’ai conscience qu’elle soit parfois un peu excessive, mais on ne change pas sa nature. Je tiens aussi une autre explication.

Connaissez-vous la racine de ‘monstre’ ? Ce qui ne se plie pas au règle de la société, qui ne tient pas à en faire parti non plus. Alors, peut être me jugerez vous de monstre, moi et mes cheveux blancs, moi et mes allures de fille bien dans sa peau. Peut être. Ou alors certainement avez-vous déjà goûté à certaines de mes répliques ? Pas si foudroyante que celle de ses politiciens, mais lorsque l’on a participé à plusieurs rédactions douteuses et parfois vulgaire, difficile de faire du soft. Non, vous l’autre compris, je ne suis pas un personnage franchement sympathique. Voyez, même moi je l’avoue et je l’écris. Il y aura certainement des jours où me voir ne sera pour vous que l’enfer sur terre, ou alors un soulagement, qui sait. La vie nous réserve parfois de drôle de chose, mais je ne tiens pas spécialement à savoir quoi. Carpe Diem.


PRINCIPAUX DÉFAUTS ET PRINCIPALES QUALITÉS : Cassante, excentrique, têtue, peu habituée à se laisser marcher sur les pieds, parfois froide, souvent hautaine, égoïste à n'en point douter, butée c'est déjà plus sûr, franche et directe voir vulgaire. Il me semble que j'ai fait le tour.

QUELQUES QUESTIONS :

Quelle est selon vous l’attitude à adopter vis à vis des autres races que vous serez amenés à fréquenter ? Le respect. Hum, peut être trop hypocrite non ? Disons le reflet de la tolérance qu'ils voudront bien me donner. Plus compliqué, mais certainement efficace.

Quelles motivations vous poussent à vouloir intégrer notre établissement ? Pouvoir manger à la faim du mois avant tout. Partager son savoir ne reste que très secondaire, mais je suis plutôt efficace dans les bons jours.

[ x ]


INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES :
Mon père était un commercial Autrichien spécialisé dans la vente de tong et autres objets de plage. Ma mère, une Indienne sûre d'appartenir à une unité puissante et croyante jusqu'au bout des racines, exerçait quand à elle la fonction d'interprète dans la grande "société" que forme l'ONU. J'ai vécut partagée entre Delhi et Innsbruck - comme vous devez vous en doutez - mais ma nationalité première est Autrichienne car j'ai gardé le nom de mon père même à sa mort.

RELATIONS :
[x] Jack London ; mon amant Anglais, vampire à ces heures perdues, blondinet au cœur tendre qui m'a aidé de nombreuses fois.
[x] Le chef de rédaction (humain) de l'ancien journal où je travaillais : "L'Envers Du Décor".
[x] Mon mari, un humain lui aussi ; je lui décernerai bien la palme de l'alcoolique le plus violent et le plus pathétique que le monde n'est jamais vu.

OBJET FÉTICHE :
Un livre, celui des Illusions Perdues.
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Charlie Von Steinbach
Charlie Von Steinbach
Nombre de messages : 3
Age : 31
Date d'inscription : 25/05/2008
MessageSujet: Re: Charlie Von Steinbach   Charlie Von Steinbach Icon_minitimeMar 3 Juin - 19:23

BIOGRAPHIE :
Là, mes efforts sont encore vains tu vois. Dans le genre élevé au bon grain à qui on caresse le poil, t'en rate pas une hein. Pas intérêt à péter de travers, papa le saurait au ministère. Quand à la maman, vendue il y a bien longtemps, elle a dû servir pour payer tes études. Et quelles études ! License de droit, puis master ; revenu plus tard dans le droit chemin après s'être rendu compte que, finalement, le Quai des Orfèvres ça ne serait pas pour toi la première année ; journalisme ensuite, bah dis donc, tu devais en avoir dans le pantalon et même un peu plus que ça pour lécher tous ces chefs de rédactions. J'espère que t'avais le cœur bien accroché mon coco. Allez, avec un peu chance, une épouse - un bon partie dirais je - pris au pif dans la belle société que tu côtoies, dans le style Sainte Nitouche ou Marie Salope, elle aurait la palme de la pétasse la plus coincée. Et il est où le balais dans le cul ? Hein ? il est où ? Avoue, tu l'as élevé au couvent puis conditionner de discours politiques dans le but de distraire un instant ces pensées et glisser dans sa main une bague en bois (eh oh, pour l'or faut pas pousser quand même, les nonnes se contentent d'une croix) pour l'assurer de la vacuité de son vagin. Rah mais j’ne ai même pas parlé de la messe le dimanche, quand tu pris Dieu de travers en pensant à ta maîtresse qui t'attends sur le sofa en petite tenue. Mmm, quel fouet va t'elle bien pouvoir utiliser aujourd'hui ... ? Le même qui a casser le dos de ton Seigneur ? Tu pourrais lui conseiller un bon kinésithérapeute ami de papa mais on le paye pas en pain lui, huhuhu ... Non, franchement, c'est cool comme métier directeur de rédaction. Ca fait bien sur le papier et y'a que toi pour dire...

"Rah, mais qu'est ce que c'est que cette merde Steinbach ?!"

Euh déjà c'est VON Steinbach mon coco - les cendres de grand père t'emmerde bien fort tu sais - et secundo c'est MADEMOISELLE Von Steinbach - là c'est mon chien qui te saute. Alors toi, j'ai déjà du mal à te saquer mais si tu commences à écorcher le seul lien qui m'unit à ta petite bouche de débutant affirmé, je crois qu'on va plus s'entendre. Quant au 'ça', il doit s'agir du papier résonnant de sarcasme que je viens de te rendre. Je suppose. Ou alors peut être de mon T-shirt à l'effigie d'un grand groupe de métal que les burocrates dans ton genre n’acceptent que sous peine d'une forte amende pour atteinte à la sureté de l'ensemble du journal. Bon, alors, qu'est ce qu'il a mon 'ça' ? Hein ? Trop crachant ? Peut être pas assez ? Et c'est quoi tout ce rouge sur la feuille que tu me rends ? Tu penses peut être que ce n’était pas mon texte définitif ? Ben nan, tu barbouilles, tu barbouilles et moi, en attendant, JE BOUILLE ! Voyons, qu'est ce qui ne va pas ... "nous aurions pu juger cet homme de peu expérimenté si ce n'était en fait l'incompétence qui perçait sa couverture" Mais elle est très bien cette phrase ! Long silence. Puis sourire, pour lui évidemment - personnellement je lui enfoncerai bien ma feuille dans le gosier.

"Bon ... je vous laisse une dernière chance, mais c'est bien parce que c'est vous ! Disons que l'on pourrait ... arranger tout cela entre nous, mhm ?"

Oh finalement, je vais la lui mettre dans le cul.

[*]


Bizarre, on m'a viré. Il n'a peut être pas aimé que je décrive la vérité lorsqu'il s'agissait de dresser un portrait du rédacteur en chef. Ce n’est tout de même pas ma faute si je n'aime qu'agresser les gens. Je peux être gentille aussi. J'avais écrit un article sur un bon type qui élevait des moutons dans le désert pour ensuite... rah mais à quoi bon. Si je rentre, ma mère va me renvoyer chez mon mari, en Inde. Bon bougre mais dans le genre tonneau de bière, il n'y a pas plus contenant. Et one again la même rengaine : où t'était passé, je t'ai cherché partout, pourquoi tu n'as pas appelé, tu ne m'aimes plus c'est ça ? ; Et paf, paf, paf ... Non, mon coco, je t'ai JAMAIS aimé, c'est ça la différence. Qu'en à tes coups, tu peux y aller, cela déchaine encore plus la marée de colère qui déferle en moi depuis de nombreuses années. Allons, Charlie, allons... Tu sais bien que de retour en Inde, tu ne seras plus qu'une ombre de plus à qui on fait des gosses. Ta personnalité de sauvageonne déchaînée, il allait falloir la mettre de côté. Trop dur hein ? Bah ouai, c'est ça le problème...

Où m’emmènent ces rues, que devient la ville quand le soleil se couche ? L'Inde est bien plus belle en carte postale que sur le terrain même. Couvre-feu à dix-neuf heures - dix sept quand vient l'hiver - même pas le temps de regarder la lune s'élever qu'on m'enferme dans une pièce à quatre murs et autant de portes adjacentes. Et si t'es en retard, et ben tant pis pour ta gueule : les coups de bâtons pleuvent et t'en a mal au dos. Tant pis hein, tant pis... Pourquoi ne pas rester ici, à Innsbruck ? Se faire discrète, ne plus publier pendant quelques temps ? Le plus dur reste d'échapper à maman, mais je me suis promis de me la faire la prochaine fois que je la verrai alors de toute façon... Allez, soyons fou ! Vivons nos années comme si elles étaient les dernières ! Carpe Diem le monde !


[*]


Cela fait une demi-heure que Jack m'observe de par-dessus ces dossiers. Jack en quelques mots ? Anglais naturalisé Autrichien, blondinet, yeux bleus, plutôt grands, tout ça derrière un sourire charmeur et quelques bonnes années de cul et loyaux services. J'aime bien Jack. Lui, au moins, il est gentil...

"Navré Charlie, mais je n'ai rien pour toi aujourd'hui."

Moue attendrissante. Mais si Jack, t'as toujours quelque chose pour moi, réfléchis nom de Dieu ! Ramasseur de crotte de chien, trieur de dossier administratif, vendeur de cacahuètes, femme-sandwiche, ... tout sauf prostitué ! De toute façon, je sais que jamais tu ne me le diras. Tu préfères largement me garder pour toi tout seul, ça se comprend en un sens. Et puis, pute, c'est fatiguant et ça ne paye pas beaucoup. Mais bref, sourcils levés en signe d'impuissance, le rosbif me regarde, m'observe. C'est vrai que j'ai un peu maigrit. Pas ma faute, le porte-monnaie déclare la faillite depuis une semaine. J'ai grignoté un pain de ça et là mais rien de très consistant à se mettre sous la dent. Je n’attends pas que Jack me donne à bouffer - lui aussi il a une femme et des enfants à entretenir - simplement, je veux un boulot en sortant d'ici. Si possible un truc qui paye. Par delà les fenêtres, le goudron transpire. Nous ne sommes pourtant qu'en avril, mais tout le climat décide de se mettre à la mode grandes lunettes et serviette. Alors les gens pestent et sifflent, évidemment. Il fait trop chaud, il fait trop ceci, il fait trop cela et gnagnagna et gnagnagna... En hiver, ce sera pareil.

"Ah si, attends. J'ai peut être quelque chose mais... ça ne va pas te plaire."

Tu sais, au point où j'en suis, je n'irai pas demander une vue sur la mer comme mon ancien bureau. Jack se lève et va ouvrir la porte pour donner un semblant de fraîcheur à la pièce dans laquelle nous nous trouvons. Je vois sa musculature sèche et fine se coller au tissu de sa chemise blanche. Je suis sûre qu'il le fait exprès. En revenant, il passe une main au dessus de mon épaule et dépose sur le bureau un dossier aux belles lettres neuves : Oblivion. C'est quoi ça, le dernier jeu télévisé en date ? Je lève un sourcil et il me sourit.

"C'est une école. Tu pourras être prof si tu veux. De... littérature-philo par exemple."

Il pointa le doigt sur la mention des postes libres. Mais bien sûr. Et pourquoi pas de sexologie t'en que t'y est. Je referme ledit dossier et le foudroie du regard. Il me connaît assez pour savoir que ça n'a rien de réjouissant pour moi. Ou plutôt pour ceux qui devront me côtoyer.

"Ecoute, Charlie. Tu étais une des journalistes les plus réputées de l'Autriche ; non pas parce qu'on n'aime ton look déjanté mais parce que tu étais douée. C'est toi qui disait toujours que les bases du journalisme sont d'abord un sens de la critique, puis un style et enfin une culture générale solide. Je me trompe ?"

Je hoche la tête. Ouai et alors ? J'étais journaliste, j'étais douée. Par contre, je n'étais pas réputée, ça non : les gens avaient de moi l'image d'une bonne femme d'un certain âge, penchée sur son bureau sous la force du devoir qui l'incombe avec pour simple vie un tuyau relié directement à son bras et qui lui permettait de manger et boire sans lever le cul de sa chaise. L'image me fit rire. Jack vint s'assoir sur le bureau en face de moi et croisa les bras.

"Alors, qu'est ce que tu décides ?"

Moment d'hésitation. 'Fais chier, il me connaît trop bien. Lui infligeant l'impératif narratif du clin d'œil, je me lève et pose le dossier sur la table.

"Je prends."
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Charlie Von Steinbach
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MessageSujet: Re: Charlie Von Steinbach   Charlie Von Steinbach Icon_minitimeMar 3 Juin - 19:27

Voilà, terminé.

Par contre, mon ordinateur était doté de sa fonction naturelle de 'me faire chier', il refuse d'accéder à mon profil pour éditer la fonction avatar ...
Je vous le donne donc, et si une âme charitable pourrait me l'ajouter...

Charlie Von Steinbach 55199-charlie

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Setsuna Sanders
Setsuna Sanders
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MessageSujet: Re: Charlie Von Steinbach   Charlie Von Steinbach Icon_minitimeMar 3 Juin - 20:15

Ah un nouveau professeur...
*aime bien son histoire.*

Je vous embauche Melle Von Steinbach.

Fiche Classée.

(voila j'ai mit ton avatar.)
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MessageSujet: Re: Charlie Von Steinbach   Charlie Von Steinbach Icon_minitime

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Charlie Von Steinbach

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